336 pages
Langue : French
Publié 17 mai 2018
336 pages
Langue : French
Publié 17 mai 2018
« Voici la plus importante histoire des États-Unis que vous lirez de votre vie. Voici, restituée de façon honnête et souvent poétique, l’histoire de ces traces et d’un peuple qui a survécu, meurtri mais insoumis. Spoiler alert : la période coloniale n’est pas close – et tous les Indiens ne sont pas morts. » Robin Kelley, historien, UCLA Un ouvrage né d’un débat avec Howard Zinn, à qui Dunbar-Ortiz reprochait d’avoir manqué son objectif avec Une Histoire populaire des Etats-Unis de faire une histoire des classes populaires en restant prisonnier d’un point de vue eurocentré. Une nouvelle histoire des États-Unis, non pas « du point de vue amérindien », mais révélant une histoire nationale structurée par le génocide et la colonie de peuplement. Un changement de paradigme historique qui réfute la théorie du « middle ground » (Richard White).Un ouvrage qui, en sondant l’histoire, permet de mieux comprendre l’Amérique contemporaine, …
« Voici la plus importante histoire des États-Unis que vous lirez de votre vie. Voici, restituée de façon honnête et souvent poétique, l’histoire de ces traces et d’un peuple qui a survécu, meurtri mais insoumis. Spoiler alert : la période coloniale n’est pas close – et tous les Indiens ne sont pas morts. » Robin Kelley, historien, UCLA Un ouvrage né d’un débat avec Howard Zinn, à qui Dunbar-Ortiz reprochait d’avoir manqué son objectif avec Une Histoire populaire des Etats-Unis de faire une histoire des classes populaires en restant prisonnier d’un point de vue eurocentré. Une nouvelle histoire des États-Unis, non pas « du point de vue amérindien », mais révélant une histoire nationale structurée par le génocide et la colonie de peuplement. Un changement de paradigme historique qui réfute la théorie du « middle ground » (Richard White).Un ouvrage qui, en sondant l’histoire, permet de mieux comprendre l’Amérique contemporaine, la violence nationale et le thème du « suprématisme blanc ». Un ouvrage très abordable, pour tous les lecteurs, dans une édition adaptée pour le lectorat français – une entreprise de salubrité publique. « Issue d’un milieu ouvrier, ayant grandi en Oklahoma, Roxanne Dunbar-Ortiz a participé à chaque mouvement féministe ou révolutionnaire important des années 60 et 70. Elle éclaire ces expériences avec une implacable précision, et fait preuve d’une fière et admirable indépendance. » Howard Zinn, historien « L’oubli de l’histoire est la maladie ontologique de la plupart des Américains de race blanche et d’origine pauvre. Dunbar-Ortiz demande à ses lecteurs de retourner à ce point de départ : de s’enraciner dans la poussière rouge et les débris de la mémoire. » Mike Davis, sociologue