LegalizeBrain a terminé la lecture de Atlas inutile de Paris par Vincent Périat

Atlas inutile de Paris de Vincent Périat
À l'origine, il y a Paris. Et un flâneur infatigable qui explore ses deux rives depuis des années. De cette …
Si on me demande ce que je lis le plus, en général je réponds : de la S-F. Mais si je regarde concrètement ce que j'ai lu l'an dernier : pas tant de S-F que ça...
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À l'origine, il y a Paris. Et un flâneur infatigable qui explore ses deux rives depuis des années. De cette …
Avertissement sur le contenu Spoiler loutres
Le petit cœur tout tendre en moi fond en arrivant vers la fin de ce tome, où deux loutres comprennent enfin ce qu'on avait compris depuis longtemps ! Vivement qu'on lise le dernier chapitre au camping d'Enoki !

Heureux de vous revoir au Strade Bianche ! Un beau jour, la journaliste d’un magazine de vélos débarque au magasin …

« Conan porta la main à la poignée de son épée, d'un geste aussi lourd de menaces que celui d'un …
@flomaraninchi@pouet.chapril.org Je vois que les recommandations continuent de converger ! Je lui donnerai une autre chance, promis !
Après avoir reçu diverses recommandations convergentes à l'égard de China Mieville, j'ai attaqué ce roman car il avait le mérite d'être disponible à la médiathèque municipale (càd que ce n'est pas tant le résultat d'un choix très éclairé que celui du hasard).
Ça commence plutôt bien, avec une ambiance mystérieuse, un cambriolage impossible, une touche de surnaturel... Le style me semble parfois un peu lourdingue, mais ça devrait aller.
Sauf que non : de très courts chapitres, de 6 à 8 pages, pour un bouquin de plus de 500 pages, c'est un choix étrange. Là, on est balloté de péripéties en personnages nouveaux, de cultes étranges en magies improbables, les personnages sont à peine esquissés, l'intrigue n'a aucun sens ni intérêt, on dirait que l'auteur veut nous montrer qu'il a de l'imagination (et il en a), mais ça ne suffit pas à faire un roman.
Je m'arrête …
Après avoir reçu diverses recommandations convergentes à l'égard de China Mieville, j'ai attaqué ce roman car il avait le mérite d'être disponible à la médiathèque municipale (càd que ce n'est pas tant le résultat d'un choix très éclairé que celui du hasard).
Ça commence plutôt bien, avec une ambiance mystérieuse, un cambriolage impossible, une touche de surnaturel... Le style me semble parfois un peu lourdingue, mais ça devrait aller.
Sauf que non : de très courts chapitres, de 6 à 8 pages, pour un bouquin de plus de 500 pages, c'est un choix étrange. Là, on est balloté de péripéties en personnages nouveaux, de cultes étranges en magies improbables, les personnages sont à peine esquissés, l'intrigue n'a aucun sens ni intérêt, on dirait que l'auteur veut nous montrer qu'il a de l'imagination (et il en a), mais ça ne suffit pas à faire un roman.
Je m'arrête au bout de 412 page, je suis essoufflé, je m'ennuie, je ne veux même pas savoir comment ça finit.
C'est un peu triste tout de même.
J'espère que ce n'est pas son meilleur bouquin.

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C'est toute l'histoire du pont que retrace ici Ivo Andric, depuis sa construction par le vizir Mehmed-pacha Sokolovic - enfant …
Selon Dupuy, aux origines des sciences cognitives, il y a la cybernetique. C'est par l'analyse de la série de conférences Macy, réunissant les plus illustres des cybernéticiens, que Dupuy nous fournit un aperçu des ambitions, du positionnement scientifique et aussi des échecs de la cybernétique.
Selon Dupuy, aux origines des sciences cognitives, il y a la cybernetique. C'est par l'analyse de la série de conférences Macy, réunissant les plus illustres des cybernéticiens, que Dupuy nous fournit un aperçu des ambitions, du positionnement scientifique et aussi des échecs de la cybernétique.

De la philosophie de l'esprit à l'intelligence artificielle, en passant par les neurosciences ou la nouvelle linguistique, les sciences cognitives …