11 x 17,5 cm, 444 pages
Langue : French
Publié 9 août 1991 par Actes Sud.
11 x 17,5 cm, 444 pages
Langue : French
Publié 9 août 1991 par Actes Sud.
[4e de couverture] De toutes les qualités qui ont justifié le succès de la Trilogie new-yorkaise, l’art de la narration est sans doute la plus déterminante. C’est qu’il suffit de suffit de s’embarquer dans la première phrase d’un de ces trois romans pour être emporté par les péripéties de l’action et étourdi jusqu’au vertige par les tribulations des personnages. Très vite pourtant le thriller prend une allure de quête métaphysique, et la ville illimitée, insaisissable – New York – devient un gigantesque échiquier où Auster dispose ses pions. De ces trois romans il avoue d’ailleurs vers la fin de la Chambre dérobée qu’ils sont une seule et même histoire considérée à des stades différents de la conscience qu’il a pu en avoir. Et d’ajouter : « Il y a longtemps que je me démène pour dire adieu à quelque chose… » Or il est vrai que, dans l’art de dire …
[4e de couverture] De toutes les qualités qui ont justifié le succès de la Trilogie new-yorkaise, l’art de la narration est sans doute la plus déterminante. C’est qu’il suffit de suffit de s’embarquer dans la première phrase d’un de ces trois romans pour être emporté par les péripéties de l’action et étourdi jusqu’au vertige par les tribulations des personnages. Très vite pourtant le thriller prend une allure de quête métaphysique, et la ville illimitée, insaisissable – New York – devient un gigantesque échiquier où Auster dispose ses pions. De ces trois romans il avoue d’ailleurs vers la fin de la Chambre dérobée qu’ils sont une seule et même histoire considérée à des stades différents de la conscience qu’il a pu en avoir. Et d’ajouter : « Il y a longtemps que je me démène pour dire adieu à quelque chose… » Or il est vrai que, dans l’art de dire la dépossession, il est passé maître.