Cossiol a publié une critique de At the Mountains of Madness par H.P. Lovecraft
None
5 étoiles
absolutament demencial
256 pages
Langue : French
Publié 23 septembre 2002
Au cours d'une expédition en antarctique, deux scientifiques mettent au jour, derrière une chaîne de montagnes en apparence infranchissable, les vestiges d'une ancienne cité aux proportions gigantesques. Pendant cinq ans, un vénérable professeur d'université devient la proie d'étranges visions. Cherchant à comprendre ce qui l'a " possédé ", il découvre en Australie des ruines plus qu'antédiluviennes cachées au regard des hommes. En visitant les dédales et recoins de ces lieux maudits, tous vont observer des fresques évoquant l'arrivée sur terre d'entités d'outre-espace. Et constater que la menace de les voir reprendre le contrôle de la planète existe toujours...
Au cours d'une expédition en antarctique, deux scientifiques mettent au jour, derrière une chaîne de montagnes en apparence infranchissable, les vestiges d'une ancienne cité aux proportions gigantesques. Pendant cinq ans, un vénérable professeur d'université devient la proie d'étranges visions. Cherchant à comprendre ce qui l'a " possédé ", il découvre en Australie des ruines plus qu'antédiluviennes cachées au regard des hommes. En visitant les dédales et recoins de ces lieux maudits, tous vont observer des fresques évoquant l'arrivée sur terre d'entités d'outre-espace. Et constater que la menace de les voir reprendre le contrôle de la planète existe toujours...
absolutament demencial
Le livre contient 2 grosses nouvelles : « Les montagnes hallucinées » et « Dans l’abîme du temps » qui ont des thèmes assez similaires. On y perçoit particulièrement bien que la source première de l’horreur chez Lovecraft, c’est moins les monstres qu’il décrit que le sentiment de l’insignifiance de l’être humain à l’échelle de l’univers.
Le livre contient 2 grosses nouvelles : « Les montagnes hallucinées » et « Dans l’abîme du temps » qui ont des thèmes assez similaires. On y perçoit particulièrement bien que la source première de l’horreur chez Lovecraft, c’est moins les monstres qu’il décrit que le sentiment de l’insignifiance de l’être humain à l’échelle de l’univers.
This work is simply disappointing. I was willing to suffer through all those tedious, technical, and dry descriptions at the beginning, hoping that the latter half of the book will be mystical and worthy of madness, but it was not. It was rather uninspired. This story does not justify its length, especially since it felt like Lovecraft spent too much time describing certain things which did not warrant such emphasis, while completely neglecting others that indeed could have used a lot more focus.