Ganache a publié une critique de Inventaire fatal par Miranda James (Le chat du bibliothécaire, #2)
Moins bien que les chats qui
Comparaison obligatoire avec les chats qui de Lillian Jackson Braun. C’était mieux avant : le chat n’était pas uniquement un accessoire mais le héros et le détective. Ici Diesel se contente de refléter les émotions de son compagnon humain et de fouiller une unique fois pour trouver la pièce à conviction manquante.
Une inspiration vieillotte : construit et animé comme un mauvais roman d’Agatha Christie ou une intrigue de Mary Roberts Rinehart (célèbre pour “c’est le domestique le coupable”). Une écriture insipide qui répète et re-répète tout. Des émotions masculines complètement plaquées sur des personnages absolument pas attachants.