Si on me demande ce que je lis le plus, en général je réponds : de la S-F.
Mais si je regarde concrètement ce que j'ai lu l'an dernier : pas tant de S-F que ça...
The first of William Gibson's Sprawl trilogy, Neuromancer is the classic cyberpunk novel. The winner …
J'avais oublié que Gibson s'appuyait autant, dans ce Neuromancien, sur les matériaux pour poser l'ambiance (l'escalier est en aggloméré brut, la console en fibre de verre, la crosse en plastique rouge, la prothèse en plastique rose sale, le bandeau en soie imprimée, le shuriken chromé, le bonbon emballé de papier à damier bleu et jaune, etc.).
Fascinant.
J'avais oublié que Gibson s'appuyait autant, dans ce Neuromancien, sur les matériaux pour poser l'ambiance (l'escalier est en aggloméré brut, la console en fibre de verre, la crosse en plastique rouge, la prothèse en plastique rose sale, le bandeau en soie imprimée, le shuriken chromé, le bonbon emballé de papier à damier bleu et jaune, etc.).
La Terre n'est plus qu'un vaste désert. Des monstres engendrés par d'antiques technologies radioactives hantent …
Avertissement sur le contenu
Divulgâchage
J'avais oublié la manière un peu naze/WTF dont la tribu meurt : iels ont mangé du poulpe radioactif, au bout de quelques jours, iels se gonflent d'hélium (sans dec ? Il sort d'où, cet hélium ?) et s'envolent.
Alors que l'enfant noir, lui, il a mangé de la cervelle de poulpe radioactif, alors il se gonfle pas d'hélium, et il voit ses capacités mentales se décupler. Bon, il est dit rapido qu'il est malade aussi mais pour l'instant ça ne se manifeste pas. Ce double standard n'est pas hyper convainquant.
Et surtout, ça casse un peu un truc que semblait dire le roman depuis le début : prise dans ses superstitions idiotes, cette tribu d'humains redevenus chasseurs-cueilleurs mange la cervelle des êtres vivants (animaux et humains) pour s'approprier leurs "pouvoirs". On nous présente vraiment ça comme une superstition, sauf qu'avec les poulpes, ben finalement c'est vrai !
Thousands of years in the future, humanity is no longer alone in a universe where …
agréable surprise
4 étoiles
Plein de bonnes choses dans ce livre : deux races extraterrestres fascinantes, une société galactique très originale, reliée par un réseau qui nous rappelle que l'auteur est un informaticien, une intrigue assez captivante même si assez convenue. Une très belle découverte !
Plein de bonnes choses dans ce livre : deux races extraterrestres fascinantes, une société galactique très originale, reliée par un réseau qui nous rappelle que l'auteur est un informaticien, une intrigue assez captivante même si assez convenue. Une très belle découverte !
Descendance[0] l'a déjà lu (jusqu'au tome 15.312 sûrement) mais a proposé qu'on le relise (i.e. je fais la lecture à haute voix le soir avant le coucher). Évidemment j'ai dit oui car ça permet de connaître mieux les goûts de sa progéniture, d'avoir la possibilité d'échanger sur ce qui lui plaît, etc.
Je dois avouer que le premier personnage présenté, héroïne hypersexualisée (jupe ras le bonbon et poitrine généreuse), qui essaie de négocier un rabais chez le marchand en jouant de son décolleté, dans les toutes premières pages, ça m'a un peu refroidi...
Descendance[0] l'a déjà lu (jusqu'au tome 15.312 sûrement) mais a proposé qu'on le relise (i.e. je fais la lecture à haute voix le soir avant le coucher). Évidemment j'ai dit oui car ça permet de connaître mieux les goûts de sa progéniture, d'avoir la possibilité d'échanger sur ce qui lui plaît, etc.
Je dois avouer que le premier personnage présenté, héroïne hypersexualisée (jupe ras le bonbon et poitrine généreuse), qui essaie de négocier un rabais chez le marchand en jouant de son décolleté, dans les toutes premières pages, ça m'a un peu refroidi...
Une « ride » - à prononcer ("raïde"), bien sûr ! - c'est une balade …
mitigé
2 étoiles
Cette BD dit des choses assez justes sur l'itinérance à vélo. J'ai peu d'expérience en ce domaine, mais j'ai quand même retrouvé des sensations, des vécus communs, c'est intéressant.
Mais cette bromance entre couilles, là, en 2025, vraiment ?
Ils ont des meufs, il ne sera question d'elles que via un "on a claqué la bise aux copines avant de se barrer" dans une case et voilà.
Bref, vous êtes un mec, vous voulez restez entre couilles dans le milieu du vélo : offrez cette BD à vos amis, faites bien comprendre aux meufs que c'est pas leur monde.
[edit : je suis injuste, il y a d'autres meufs : il y a une case où deux femmes passent sur un tandem, et nos deux héros leur matent le cul. Paye ton féminisme.]
Cette BD dit des choses assez justes sur l'itinérance à vélo. J'ai peu d'expérience en ce domaine, mais j'ai quand même retrouvé des sensations, des vécus communs, c'est intéressant.
Mais cette bromance entre couilles, là, en 2025, vraiment ?
Ils ont des meufs, il ne sera question d'elles que via un "on a claqué la bise aux copines avant de se barrer" dans une case et voilà.
Bref, vous êtes un mec, vous voulez restez entre couilles dans le milieu du vélo : offrez cette BD à vos amis, faites bien comprendre aux meufs que c'est pas leur monde.
[edit : je suis injuste, il y a d'autres meufs : il y a une case où deux femmes passent sur un tandem, et nos deux héros leur matent le cul. Paye ton féminisme.]