LegalizeBrain a noté L'Arbre nu : 5 étoiles
L'Arbre nu de Keum Suk Gendry-Kim
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Si on me demande ce que je lis le plus, en général je réponds : de la S-F. Mais si je regarde concrètement ce que j'ai lu l'an dernier : pas tant de S-F que ça...
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À l'origine, il y a Paris. Et un flâneur infatigable qui explore ses deux rives depuis des années. De cette …
Avertissement sur le contenu Spoiler loutres
Le petit cœur tout tendre en moi fond en arrivant vers la fin de ce tome, où deux loutres comprennent enfin ce qu'on avait compris depuis longtemps ! Vivement qu'on lise le dernier chapitre au camping d'Enoki !
Après avoir reçu diverses recommandations convergentes à l'égard de China Mieville, j'ai attaqué ce roman car il avait le mérite d'être disponible à la médiathèque municipale (càd que ce n'est pas tant le résultat d'un choix très éclairé que celui du hasard).
Ça commence plutôt bien, avec une ambiance mystérieuse, un cambriolage impossible, une touche de surnaturel... Le style me semble parfois un peu lourdingue, mais ça devrait aller.
Sauf que non : de très courts chapitres, de 6 à 8 pages, pour un bouquin de plus de 500 pages, c'est un choix étrange. Là, on est balloté de péripéties en personnages nouveaux, de cultes étranges en magies improbables, les personnages sont à peine esquissés, l'intrigue n'a aucun sens ni intérêt, on dirait que l'auteur veut nous montrer qu'il a de l'imagination (et il en a), mais ça ne suffit pas à faire un roman.
Je m'arrête au bout de …
Après avoir reçu diverses recommandations convergentes à l'égard de China Mieville, j'ai attaqué ce roman car il avait le mérite d'être disponible à la médiathèque municipale (càd que ce n'est pas tant le résultat d'un choix très éclairé que celui du hasard).
Ça commence plutôt bien, avec une ambiance mystérieuse, un cambriolage impossible, une touche de surnaturel... Le style me semble parfois un peu lourdingue, mais ça devrait aller.
Sauf que non : de très courts chapitres, de 6 à 8 pages, pour un bouquin de plus de 500 pages, c'est un choix étrange. Là, on est balloté de péripéties en personnages nouveaux, de cultes étranges en magies improbables, les personnages sont à peine esquissés, l'intrigue n'a aucun sens ni intérêt, on dirait que l'auteur veut nous montrer qu'il a de l'imagination (et il en a), mais ça ne suffit pas à faire un roman.
Je m'arrête au bout de 412 page, je suis essoufflé, je m'ennuie, je ne veux même pas savoir comment ça finit.
C'est un peu triste tout de même.
J'espère que ce n'est pas son meilleur bouquin.
Selon Dupuy, aux origines des sciences cognitives, il y a la cybernetique. C'est par l'analyse de la série de conférences Macy, réunissant les plus illustres des cybernéticiens, que Dupuy nous fournit un aperçu des ambitions, du positionnement scientifique et aussi des échecs de la cybernétique.
Ça faisait bien longtemps que je n'avais pas touché à un roman des annales du disque-monde, j'avais dans l'idée de reprendre là où je m'étais arrêté pour finir enfin cette série... Et puis bof. Ça m'a pris des mois de finir celui-là, par moment c'était marrant, oui, mais j'ai aussi eu l'impression que ça partait un peu dans tous les sens. Et je n'ai vraiment rigolé que dans les 40 dernière pages, alors que bon, en théorie, on lit du Pratchett avec l'idée que ça fera réfléchir ET que ça sera drôle.
C’est en novembre 2001 que paraît pour la première fois Pilules bleues. Sans aucune promotion, le titre rencontre ses lecteurs, …
En Finlande, Ellé est une artiste peintre same reconnue. Lorsque sa grand-mère décède, elle renoue avec le mode de vie …