Frankenstein

Paperback, 273 pages

Langue : English

Publié 31 décembre 2002 par J.M. Dent & Sons, E.P. Dutton.

ISBN :
978-0-14-143947-1
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Goodreads:
18490

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4 étoiles (1 critique)

Obsessed with creating life itself, Victor Frankenstein plunders graveyards for the material to fashion a new being, which he shocks into life with electricity. But his botched creature, rejected by Frankenstein and denied human companionship, sets out to destroy his maker and all that he holds dear. Mary Shelley's chilling Gothic tale was conceived when she was only eighteen, living with her lover Percy Shelley near Byron's villa on Lake Geneva. It would become the world's most famous work of horror fiction, and remains a devastating exploration of the limits of human creativity.

Based on the third edition of 1831, this volume contains all the revisions Mary Shelley made to her story, as well as her 1831 introduction and Percy Bysshe Shelley's preface to the first edition. This revised edition includes as appendices a select collation of the texts of 1818 and 1831 together with 'A Fragment' by Lord Byron …

92 éditions

a publié une critique de Frankenstein par Mary Shelley

Frankenstein

4 étoiles

Cette lecture me laisse un sentiment mitigé. Je suis quelque peu déçu. Je n'ai rien à reprocher à l'écriture et à la forme narrative (épistolaire avec des récits imbriqués). Au contraire même. Ce qui concerne la partie « science-fiction » de l'œuvre est assez courte au final, parce qu'une fois le « monstre » créé, l'œuvre devient un récit quasi classique qui pourrait se résumer à la lutte entre un homme et ses propres démons. Pour ce qui est du récit lui-même, j'ai trouvé qu'il se résume aux lamentations du personnage principal, Frankenstein, et secondairement de sa création (le récit de ce dernier est assez succinct). Frankenstein ne se remet jamais vraiment en question et ne fait que se plaindre de son sort. Je m'excuse pour l'usage de ces expressions (sujettes à polémique), mais certains pourraient y voir de la « victimisation » ou de la « course victimaire ».