Frankenstein.

Pas de couverture

Mary Shelley: Frankenstein. (1998, Univ.California P.)

270 pages

Langue : English

Publié 24 février 1998 par Univ.California P..

ISBN :
978-0-520-20179-8
ISBN copié !
Numéro OCLC :
35203798

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4 étoiles (1 critique)

The original story of science gone berserk: one that changed how far our dreams can stretch. Imagine a human created out of corpses. A monster assembled by a scientist from parts of dead bodies develops a mind of his own as he learns to loathe himself and hate his creator. Who is the monster: this tortured beast, or the man who made him?--Goodreads, LibraryThing.

A monster has been loosed upon the world--super-humanly strong, inhumanly vicious. Its inventor knows he must find and destroy it--halt its career of terror and murder! But as Victor Frankenstein, the mad scientist, pursues his monster through the night, he hears the echo of its fearsome voice: "You are my creator, but I am your master. Obey!--WorldCat.

"Mary Shelley's timeless Gothic novel presents the epic battle between man and monster at its greatest literary pitch. In trying to create life, the young student Victor Frankenstein …

92 éditions

a publié une critique de Frankenstein par Mary Shelley

Frankenstein

4 étoiles

Cette lecture me laisse un sentiment mitigé. Je suis quelque peu déçu. Je n'ai rien à reprocher à l'écriture et à la forme narrative (épistolaire avec des récits imbriqués). Au contraire même. Ce qui concerne la partie « science-fiction » de l'œuvre est assez courte au final, parce qu'une fois le « monstre » créé, l'œuvre devient un récit quasi classique qui pourrait se résumer à la lutte entre un homme et ses propres démons. Pour ce qui est du récit lui-même, j'ai trouvé qu'il se résume aux lamentations du personnage principal, Frankenstein, et secondairement de sa création (le récit de ce dernier est assez succinct). Frankenstein ne se remet jamais vraiment en question et ne fait que se plaindre de son sort. Je m'excuse pour l'usage de ces expressions (sujettes à polémique), mais certains pourraient y voir de la « victimisation » ou de la « course victimaire ».