– Le problème d’identité, c’est ça ? – Exactement. La question de savoir qui est qui et si nous sommes ou non ce que nous croyons être. Tout ce qui arrive à Quinn dans ce livre – et aussi aux personnages des deux autres – procède d’un d’un déshabillage, d’une réduction à un état extrême nudité où on est obligé de se confronter à qui on est. Ou à qui on n’est pas. Finalement, ça revient au même.
— Le carnet rouge suivi de L'art de la faim de Paul Auster (Page 372)
Dans Conversation avec Joseph Mallia à propos de la Trilogie new-yorkaise
