GilB a cité La messagère par Thomas Wharton
Tout en regardant brouter les rennes, il se demande comment ils font pour vivre ici. De la même manière que les animaux se sont toujours arrangés pour cohabiter avec nous, bien sûr. En subissant tout sans rien escompter. À leurs yeux, cet endroit terrifiant n’a rien de nouveau ni de différent ; ce n’est qu’une autre des funestes énigmes engendrées par les humains et qu’il faut endurer. Pour eux, le Parc et nous, c’est du pareil au même : une réalité inexplicable, inarrêtable. Une brèche crevant le cœur du monde et qui ne s’en ira jamais.
— La messagère de Thomas Wharton (Page 370)