Poslovitch a cité Pour l'amour des Vosges par Claude Vautrin (Pour l'amour de)
Extrême douceur du coton, sifflement de la découpe, acuité de l’œil du soudeur, odeurs de bois dans l'atelier de finition : les sens s'excitent, réveillent une nouvelle fois l'imaginaire. Jusque quand ? Faudra-t-il un jour puiser dans le seul invisible pour réenchanter le monde du travail ? Menaçant volontiers les cieux vosgiens, les nuages, ces clouds mystérieux, seraient-ils à terme les seuls réceptacles de nos rêves créateurs ?
— Pour l'amour des Vosges de Claude Vautrin (Pour l'amour de) (Page 45)