Clochix a terminé la lecture de Pleurons sous la pluie par Tanith Lee
C’est une déception. Ce petit livre reprend une nouvelle d’une quarantaine de pages, parue en 1987, et agrémentée d’un appareil critique de 30 pages. En fait de modernité, j’ai eu l‘impression de lire une nouvelle bien plus ancienne, quand la principale crainte était le nucléaire. Même en 87, j’ai l’impression que le principe d’un monde partagé entre riches vivant dans un ghetto abrité et pauvres survivant à l’extérieur n’était pas nouveau. Une nouvelle d’une lecture agréable, mais qui pour moi ne méritait pas vraiment un livre à elle seule ni les critiques vantant sa modernité lues ici et là.