Ne souffrons pas que des soldats armés aillent opprimer de bons citoyens, sous prétexte de les défendre. Ne remettons par le sort de la révolution dans les mains des chefs militaires ; ne nous laissons point aller aux murmures de ceux qui préfèrent un paisible esclavage à une liberté achetée par quelques sacrifices, et qui nous montrent sans cesse les flammes de quelques châteaux incendiés.
— Pour le bonheur et pour la liberté de Maximilien Robespierre (Page 42)
