On juge de la prospérité d'un état, moins par les succès de l'extérieur, que par l'heureuse situation de l'intérieur. Quand les factions sont audacieuses, quand l'innocence tremble pour elle-même, la République n'est pas fondée sur des bases durables. Je dénonce ici, aux gens de bien, un système odieux qui tend à soustraire l'aristocratie à la justice nationale, et à perdre la patrie en perdant les patriotes : car la cause la patrie et celle des patriotes, c'est la même chose.
— Pour le bonheur et pour la liberté de Maximilien Robespierre (Page 327)
