#sfff

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La bonne idée que de refaire son entre les nouvelleaux et les gens se mettent à me suivre parce que je shitpost sur la CAF

Je suis Zeph, je suis l'humain de Joy qui est mon compagnon depuis toujours (2021). Il aime les brocolis et prendre toute la place sur le lit. (et moi, il m'aime beaucoup, il chante quand je reviens à la maison)
J'écris des nouvelles, des novellas ; j'ai arrêté d'écrire des romans parce que c'est difficile avec ma façon de fonctionner et ma santé
Vous pouvez en trouver un peu ici :
https://zephdangles.wordpress.com/
ou ici en audio : https://radiopoivron.lithio.fr/podcast/entre-les-ecailles-eclot-lespoir/

J'aime bidouiller les choses avec mes mains, mais je sais pas toujours les remonter, alors je fais des bijoux avec des vieux trucs à la place de me lancer dans l'informatique
Je brode, je couds, je fais des colliers en chaine de …

Ariel Kyrou, Jérôme Vincent: Pourquoi lire de la science-fiction et de la fantasy ? (et aller chez son libraire) : Manifeste pour les littératures de l'imaginaire (Paperback, Français language, Les Nouvelles éditions ActuSF) Aucune note

Littératures d'évasion, de réflexion, de recherche, de critique sociétale... Les littératures de l'imaginaire nous sont …

Ce que mon séjour dans la Silicon Valley m'a vraiment appris, c'est que si nous avons encore en France l'horizon d'une émancipation collective, aux États-Unis, la libération s'est d'emblée conçue comme individuelle, et dès la contre-culture hippie. À l'opposé de ça, la volte, c'est toujours le collectif. La horde, c'est toujours le collectif. Les furtifs, c'est toujours collectif ! Rien de ce que j'ai écrit n'est fondé sur la libération de l'individu comme entité solitaire. Ça c'est le rêve du néolibéralisme, sa limite profonde : il ne crois pas que les liens puissent libérer. Il les voit d'abord sinon uniquement comme des chaînes. C'est effectivement un motif viscéral de désespoir. Le biopunk, ce serait l'inverse sur cet axe-ci : comprendre que les interdépendances entre les êtres trament un milieu fécond et nourricier, une étoffe dont sont tissées nos libertés réelles. Rien de plus jouissif qu'un groupe qui marche bien, qui s'éclate, qui crée ensemble. Rien de plus intense qu'une amitié ou un amour qui t'ouvre au monde.

Pourquoi lire de la science-fiction et de la fantasy ? (et aller chez son libraire) : Manifeste pour les littératures de l'imaginaire de ,

Extrait de l'entrevue avec Alain Damasio, « Du cyberpunk au biopunk », p. 392-409 #SF #science-fiction #SFFF #biopunk #politique

Ariel Kyrou, Jérôme Vincent: Pourquoi lire de la science-fiction et de la fantasy ? (et aller chez son libraire) : Manifeste pour les littératures de l'imaginaire (Paperback, Français language, Les Nouvelles éditions ActuSF) Aucune note

Littératures d'évasion, de réflexion, de recherche, de critique sociétale... Les littératures de l'imaginaire nous sont …

(...) la SF est le genre le plus important pour notre époque, le plus libre et le plus puissant si tu veux interroger l'humanité et son futur. (...) c'est un outil fantastique pour penser et faire penser, pour faire de la politique intelligente et fine. Ma lecture du genre, qui vaut ce qu'elle vaut, est que la science-fiction a été dominée dans les cinquante dernières années par le cyberpunk et sa promesse indirecte ou souterraine d'émancipation des corps et des esprits par la technologie. Dès le début pourtant, et c'est le sens du suffixe « punk », les écrivains devinent déjà que ça va foirer, que le cyber comme augmentation de l'humain va être dévoyé, tordu, sali du dedans par les corporations et le capitalisme, par les pulsions de pouvoir de domination, la lâcheté et l'avidité, etc. Malgré tout, la promesse a été reprise par moultes entreprises de la Tech, les GAFAM en tête, par Apple par exemple, qui fait du « cyberpunk washing ». Ils ont préservé la promesse de libération par la techno, mais sans ce que ça implique de merde, de crasse, de dégradations, de perversions, etc. Ce n'est qu'une libération publicitaire, strictement individuelle. (...) La trahison de la promesses cyberpunk, son retournement en une immense machination de la dépendance, est le grand événement du XXIe siècle, bien plus important que toutes les guerres parce qu'elles structurent le quotidien de 6 ou 7 milliards d'individus dans tous les pays du monde. (...) Si tu crois à la puissance libératrice de la science-fiction, cette trahison implique de faire émerger un autre paradigme. Et cet autre paradigme, à mes yeux, c'est le vivant, à la fois animal et végétal, les bactéries, les virus, les champignons autant que les biotopes, c'est notre rapport à renouer avec les rivières, la montagne, l'océan, les forces. J'appelle ça le biopunk, même si le mot sonne un peu schtroumpf.

Pourquoi lire de la science-fiction et de la fantasy ? (et aller chez son libraire) : Manifeste pour les littératures de l'imaginaire de ,

Extrait de l'entrevue avec Alain Damasio, « Du cyberpunk au biopunk », p. 392-409 #SF #science-fiction #SFFF #biopunk #cyberpunk

Hey

Je viens de créer un des écrivain·e·s :

https://fedidevs.com/s/NDU/

Il est bien vide ! Peux-tu me lister les comptes que je dois y ajouter ?

PS: les comptes doivent être "discoverable" pour pouvoir être ajouté et je rajoute la condition que la bio doit citer que la personne est autrice.

Ptêtre que c’est mieux que celleux qui veulent en être me contacte en MP

Bonne année, le Fédivers !

En 2024, j'aimerais ouvrir une à , spécialisée ( ). Je suis encore dans la partie pas marrante (vous risquez de m'entendre râler de temps en temps), à savoir réunir les fonds, mais en parallèle un lieu où installer boutique.

Il faut savoir que dans une librairie, ce qui coûte le plus cher, c'est, entre autres, le loyer. Du coup, je me dis qu'on peut tenter la magie des réseaux pour trouver une pépite. J'ai pas masse de critères, si ce n'est :
- Dans le centre ou dans l'Est de Bruxelles, idéalement pas trop loin de transports en commun.
- Minimum 50m², pas de maximum, mais...
- Maximum 1500€/mois (je cherche plutôt autour de 1000€).
- Une vitrine, assez logiquement.

Si vous connaissez quelqu'un qui connait quelqu'un qui connait quelqu'un …