#femme

Les 11 et 12 avril prochains, j'aurai le plaisir de participer aux journées d'étude associées à l'#exposition du musée des Beaux-Arts de #tours qui s'est ouverte le 8 mars dernier, "Le Sceptre et la Quenouille. Etre #femme entre #MoyenAge et #Renaissance" (https://www.culture.gouv.fr/Regions/DRAC-Centre-Val-de-Loire/Actualites-regionales-Centre-Val-de-Loire/Actualites-a-la-Une/Une-exposition-d-interet-national-au-musee-des-Beaux-arts-de-Tours).
Le programme (https://cesr.univ-tours.fr/centre-detudes-superieures-de-la-renaissance/manifestations/journees-detude-le-sceptre-la-quenouille-etre-femme-entre-moyen-age-et-renaissance) rassemble des communications non seulement d'historiens et d'historiens de l'art mais aussi de littéraires.

Un genre de contradiction que peut-être seule l'Amérique des années folles était capable de faire vivre. Le livre d' #UrsulaParrott n'est pas #féministe militant, c'est le roman d'une #femme qui se trouve devenir libre bien contre son gré et vit cette liberté avec un grand pragmatisme — sans pour autant que cela amenuise son humanité et la possibilité de s'émouvoir et d'aimer. Un chapitre toutefois, le pénultième et le plus long, nous replonge dans une littérature du dilemme moral et amoureux du XIXe siècle. Mais tout le restant du roman répond lui beaucoup plus à une vision du monde pertinente vue du XXIe siècle, avec en plus ce brillant et cette excitation qu'apportait la nouveauté.