GilB a noté Sauter des gratte-ciel : 3 étoiles
Sauter des gratte-ciel de Julia von Lucadou
[4e de couverture] Dans un futur proche, le culte de la transparence règne : tout est filmé, liké, évalué, commenté …
Je lis beaucoup de SF et de BD mais aussi de la littérature japonaise et américaine. Déjà utilisateur de Bookwyrm, je repars à zéro sur cette nouvelle instance. Je suis aussi sur Mastodon
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[4e de couverture] Dans un futur proche, le culte de la transparence règne : tout est filmé, liké, évalué, commenté …
Ce roman a été classé science-fiction par ma bibliothèque, mais c’est surtout une chronique de la vie et de personnes qui vivent à Bangkok - Khrung Thep. On les suit sur plusieurs époques, plusieurs périodes de leur vie, plusieurs générations, jusqu’à une ville totalement inondée avec le changement climatique. Les récits s’entrecroisent, se complètent et éclairent des moments passés et futurs de la ville. J’ai apprécié cette lecture, lente et contemplative. On suit le cheminements des personnages de manière discontinue, on apprend à les connaître petit à petit. Certain·es reviennent plus souvent, on est content de les retrouver. D’autres n’ont que quelques chapitres. Tous et toutes participent à la construction du récit et de la vision de cette ville particulière, construite sur et autour de l’eau.
[4e de couverture] Un médecin américain en mission au XIXe siècle, des étudiants de l’université de Thammsat confrontés aux répressions …
[4e de couverture] Coline Pierré nous offre un livre bijou.
Ce texte iconoclaste est un plaidoyer pour l’imagination et pour …
[4e de couverture] Sur Mars, un scientifique expérimente un nouveau moteur qui permettra un jour à l’humanité de voyager vers …
[4e de couverture] Bienvenue à Quality Land, le pays de tous les superlatifs ! Tu vibres déjà ? Il y …
Dans plusieurs millions d’années… Ayant essaimé à travers l’ensemble de la Galaxie, l’humanité s’est divisée en une myriade de cultures …
Des clones humains et quasiment immortels, la lignée Gentian, se retrouvent tous les deux cent mille ans pour partager leurs découvertes dans un univers colonisé par l'espèce humaine. Lors leurs Retrouvailles et pendant 1000 jours, chacun d'eux diffuse un "fil", synthèse de toutes ses expériences pendant la période passée. Mais l’un des fil paraît étrange à deux des gentianes, iels vont mener l’enquête. J'ai bien aimé le contexte et les personnages. On découvre et on comprend au fur et mesure les aspirations des clones de la lignée Gentian, ainsi que les tensions et divergences qui ont émergé avec les centaines de milliers d’années. J’ai été déçu sur la fin, la conclusion est moins éclatante que ne laissait présager les évènements et révélations la précédant.
[4e de couverture] De son Carnet rouge, où il consigne, et même collectionne les évènements étranges par leurs coïncidences, Paul …
Hasard, contingence et nécessité. Dans Le carnet rouge, Paul Auster reporte 13 histoires qui le concernent directement ou qui lui ont été racontées. Elles sont parfois insignifiantes, parfois déterminantes et tellement invraisemblables qu’elles ne peuvent qu’être vraies. C’est en quelque sorte la matière de ses romans. La dernière est à l’origine de la trilogie new-yorkaise : il est appelé plusieurs fois de suite par erreur et raccroche, que ce serait-il passé s’il avait répondu par l’affirmative et se serait fait passer pour un détective ? La suite du recueil est un ensemble d’essais sur des auteurs, autrices et artistes qu’il admire, je les ai laissé de côté (pour l’instant). La dernière partie est une suite de 3 conversations (entre 1980 et 1990) sur la traduction, l’écriture, ses premiers romans. Avec de nouvelles histoires invraisemblables et une analyse sur la façon dont ses romans naissent et se construisent. C’est à la …
Hasard, contingence et nécessité. Dans Le carnet rouge, Paul Auster reporte 13 histoires qui le concernent directement ou qui lui ont été racontées. Elles sont parfois insignifiantes, parfois déterminantes et tellement invraisemblables qu’elles ne peuvent qu’être vraies. C’est en quelque sorte la matière de ses romans. La dernière est à l’origine de la trilogie new-yorkaise : il est appelé plusieurs fois de suite par erreur et raccroche, que ce serait-il passé s’il avait répondu par l’affirmative et se serait fait passer pour un détective ? La suite du recueil est un ensemble d’essais sur des auteurs, autrices et artistes qu’il admire, je les ai laissé de côté (pour l’instant). La dernière partie est une suite de 3 conversations (entre 1980 et 1990) sur la traduction, l’écriture, ses premiers romans. Avec de nouvelles histoires invraisemblables et une analyse sur la façon dont ses romans naissent et se construisent. C’est à la fois fascinant et vertigineux : « La question [est] de savoir qui est qui et si nous sommes ou non ce que nous croyons être ».
[4e de couverture] Serait-il possible de décrypter les algorithmes de l’amour ? Peut-être les tentaculaires compagnies de l’Internet y parviendront-elles …
Une détective augmentée et dépendante de son régulateur pour brider ses émotions, un meurtrier méthodique et dénué de tout affect, dans un monde où les améliorations technologiques du corps humain sont devenues normales. Ken Liu aborde la notion d’humanité dans un registre plus sombre et déprimant que les autres nouvelles parues chez Le Bélial’ (collection Une heure-lumière) ou le recueil La ménagerie de papier. J’ai apprécié les personnages, essentiellement féminins, et la progression. Mais j’ai trouvé cette nouvelle un peu trop mécanique et froide.
Klara est une AA, une Amie Artificielle, un robot de pointe ultraperformant créé spécialement pour tenir compagnie aux enfants et …