GilB a noté Cyberstructure : 5 étoiles
Cyberstructure de Stéphane Bortzmeyer
[Présentation éditeur] « Une grande partie des activités humaines se déroule aujourd'hui sur l'Internet. On y fait des affaires, de …
Je lis beaucoup de SF et de BD mais aussi de la littérature japonaise et américaine. Déjà utilisateur de Bookwyrm, je repars à zéro sur cette nouvelle instance. Je suis aussi sur Mastodon
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[Présentation éditeur] « Une grande partie des activités humaines se déroule aujourd'hui sur l'Internet. On y fait des affaires, de …
[4e de couverture] Désormais, l’humanité peut mener des vaisseaux au-delà de la vitesse de la lumière. Afin de rejoindre le …
J'ai bien aimé, en partie, ce roman de "hard sf", écrit dans les années 80 et traduit/édité récemment par Mnémos. Le démarrage est frontal avec une des personnages principale, Laena Trevelyan qui vient d'être opérée pour pouvoir supporter les voyages spatiaux dans le Flux, au delà de la vitesse de la lumière. Puis il y a Orca, une plongeuse, plus tout à fait humaine ou plus qu'humaine, dont le génome est modifié pour s'adapter à la vie sous-marine. Et enfin il y a Radu Dracul, originaire de Crépuscule, une lointaine planète colonisée, très peu habitué aux coutumes de la terre. L'autrice décrit les personnes plus que le contexte technique, leurs rapports, leurs incompréhensions mutuelles quand les différences (physiques, génétiques) vont au delà du caractère et de la culture. Les personnages féminins sont très forts, on commence par elles. Ensuite on fait connaissance avec Radu, assez énigmatique et maladroit dans un …
J'ai bien aimé, en partie, ce roman de "hard sf", écrit dans les années 80 et traduit/édité récemment par Mnémos. Le démarrage est frontal avec une des personnages principale, Laena Trevelyan qui vient d'être opérée pour pouvoir supporter les voyages spatiaux dans le Flux, au delà de la vitesse de la lumière. Puis il y a Orca, une plongeuse, plus tout à fait humaine ou plus qu'humaine, dont le génome est modifié pour s'adapter à la vie sous-marine. Et enfin il y a Radu Dracul, originaire de Crépuscule, une lointaine planète colonisée, très peu habitué aux coutumes de la terre. L'autrice décrit les personnes plus que le contexte technique, leurs rapports, leurs incompréhensions mutuelles quand les différences (physiques, génétiques) vont au delà du caractère et de la culture. Les personnages féminins sont très forts, on commence par elles. Ensuite on fait connaissance avec Radu, assez énigmatique et maladroit dans un monde qui n'est pas le sien. Les personnages se croisent, s'apprivoisent, se perdent et c'est tout l'enjeu du roman. Mais Radu prend presque toute la place, un peu trop à mon goût. J'aurais voulu passer plus de temps avec Laena et Orca. Mieux comprendre leur choix et leurs interrogations sur leurs transformations, choisies ou pas. Et je conseille de ne pas lire la préface avant le roman, elle révèle selon moi beaucoup trop de choses des personnages et de l'intrigue.
[4e de couverture] Majimé, jeune employé d’une maison d’édition, se voit confier la réalisation d’un nouveau dictionnaire du japonais, un …
Un beau voyage aux côtés de personnages parfois exaspérants mais surtout très attachants. On suit le parcours de Majimé Mitsuya devenu, presque par hasard, le responsable de l'édition d'un dictionnaire du japonais. Et c’est surtout par le témoignage des gens qu'il côtoie et avec qui il travaille que l’autrice arrive à nous faire comprendre et apprécier ce jeune homme qui paraît inadapté au monde qui l’entoure et se révèle être la personne qui va pouvoir mener à bien « La Grande Traversée ».
Deux parcours de vie, deux uchronies en compagnie de Patricia, ou plus précisément Pat et Trish. "C'est maintenant ou jamais", Patricia a quelques secondes pour choisir. On explore avec elle les deux voies possibles dans deux mondes différents. C'est très intime, c'est très touchant. On voudrait parfois la féliciter ou contraire l'encourager à faire autrement. On y voit la difficulté à être femme, de trouver sa voie, d'être soi en dehors de ce que les autres (et les hommes) voudraient qu'elle soit. J'ai trouvé parfois le rythme un peu mécanique dans l'alternance des deux voix et des deux mondes. Mais il y a tellement de richesse à côtoyer Pat et Trish, tellement de gens à connaître qu'il serait dommage de passer à côté de cette rencontre.
Tokyo, le japon et les japonais par un illustrateur français. Un non-guide totalement subjectif de ce qu'il a vu et éprouvé en parcourant la ville à vélo. C'est graphiquement très riche, avec des plans méticuleux des différents quartiers qu'il a visité, les vues des koban (postes de police), les personnes qu'il a croisé (et les étiquettes de fruit). Il est à la fois facétieux et curieux de l'étrangeté, de la différence. On suit ses aventures, ses découvertes surprenantes et ses déconvenues dans un ailleurs exotique qui devient familier. A lire, à regarder et à reregarder.
[4e de couverture] Née en 1926, Patricia Cowan finit ses jours dans une maison de retraite. Très âgée, très confuse, …
[4e de couverture] Muté depuis peu au commissariat de Nihonbashi, au cœur de Tokyo, Kaga Kyoichiro enquête sur le meurtre …
[4e de couverture] En 2012, après avoir commis un méfait, trois jeunes délinquants se réfugient dans une vieille boutique abandonnée …
Une courte vidéo de l'autrice qui présente son livre invidious.fdn.fr/watch?v=u1oBjIM_4ZM
[Résumé éditeur] Le musée du Louvre est devenu île, sous les crayons de couleurs de Florent Chavouet. Muni d’un pass …
[4e de couverture] Touiller le miso Revoir les morceaux de navet Boire tout le bol.
[Résumé éditeur] Kenji avait emprunté de l’argent à des gens qui n’étaient pas une banque pour ouvrir un restaurant qui …