Propos de Maëlle qu'Aurélia Aurita a rencontrée à l'hôpital Curie (autrice du podcast Impatiente)
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Je lis beaucoup de SF et de BD mais aussi de la littérature japonaise et américaine. Déjà utilisateur de Bookwyrm, je repars à zéro sur cette nouvelle instance. Je suis aussi sur Mastodon
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GilB a cité La vie gourmande par Aurélia Aurita
Moi je trouve qu’on accorde trop d’importance à l’amour romantique. OK, c’est sympa, mais un peu limité … Alors que l’amitié ! C’est vivant, c’est surprenant … Je vois ça comme un réseau de mailles, qui se superposent, s’entrecroisent, se renforcent et s’enrichissent mutuellement. J’aime que mes amis deviennent amis entre eux … J’aime cette multiplication des liens et combinaisons possibles … Bref, je vis pour l’amitié !
— La vie gourmande de Aurélia Aurita (Page 273 - 272)
Propos de Maëlle qu'Aurélia Aurita a rencontrée à l'hôpital Curie (autrice du podcast Impatiente)
GilB a noté La vie gourmande : 5 étoiles

La vie gourmande de Aurélia Aurita
[4e de couverture] Dans cette autobiographie culinaire, Aurélia Aurita dessine une carte ludique invitant à la découverte de la grande …
GilB a commencé la lecture de Le carnet rouge suivi de L'art de la faim par Paul Auster

Le carnet rouge suivi de L'art de la faim de Paul Auster
[4e de couverture] De son Carnet rouge, où il consigne, et même collectionne les évènements étranges par leurs coïncidences, Paul …
GilB a terminé la lecture de Trilogie new-yorkaise par Paul Auster
Trois récits indépendants et intrinsèquement liés. Trois histoires dont le point de départ est le résultat d’un choix, répondre à un faux numéro, accepter un travail pour une personne étrange, accepter de prendre en charge les écrits d’un ancien ami. Ces choix en entraînent d’autres et les personnages se font emporter par l’histoire elle même. Les noms – dont celui de l’auteur lui-même – s’entrecroisent, les récits se mêlent sans pour autant se suivre. J’ai lu ce livre il y a longtemps. En le relisant maintenant je suis toujours aussi impressionné par la justesse de l’écriture et par la capacité de Paul Auster à faire vivre et ressentir ses personnages.
Trois récits indépendants et intrinsèquement liés. Trois histoires dont le point de départ est le résultat d’un choix, répondre à un faux numéro, accepter un travail pour une personne étrange, accepter de prendre en charge les écrits d’un ancien ami. Ces choix en entraînent d’autres et les personnages se font emporter par l’histoire elle même. Les noms – dont celui de l’auteur lui-même – s’entrecroisent, les récits se mêlent sans pour autant se suivre. J’ai lu ce livre il y a longtemps. En le relisant maintenant je suis toujours aussi impressionné par la justesse de l’écriture et par la capacité de Paul Auster à faire vivre et ressentir ses personnages.
GilB a noté La société protectrice des Kaijus : 4 étoiles

La société protectrice des Kaijus de John Scalzi
[Résumé éditeur] Ils sont GROS Ils sont MÉCHANTS Ils sont MENACÉS D’EXTINCTION
Jamie accepte immédiatement le job que Tom, …

Fun home de Alison Bechdel
[Résumé éditeur] Secrets de famille, déchirures cachées, enfance gothique, anxiétés sexuelles et grande littérature.. Une autobiographie familiale à l'humour sombre …
GilB a terminé la lecture de Fun home par Alison Bechdel

Fun home de Alison Bechdel
[Résumé éditeur] Secrets de famille, déchirures cachées, enfance gothique, anxiétés sexuelles et grande littérature.. Une autobiographie familiale à l'humour sombre …
GilB a noté C'est toi ma maman ? : 3 étoiles

C'est toi ma maman ? de Alison Bechdel
[Résumé éditeur] "Fun Home", chef-d'œuvre d'introspection familiale, élargissait le territoire du roman graphique. Avec cette nouvelle plongée dans l'alchimie fondatrice …
GilB a noté Le secret de la force surhumaine : 4 étoiles

Le secret de la force surhumaine de Alison Bechdel
[Résumé éditeur] Après avoir exploré dans "Fun Home" et "C’est toi ma maman ?" les figures complexes de son père …
GilB a cité Le secret de la force surhumaine par Alison Bechdel
Un jour, pourtant, j'ai remarqué que ma perpétuelle anxiété avait disparu. Je n'avais plus l'impression d'être observée ou jugée. J'étais, simplement. Et c'était le bonheur. Un bonheur vrai, technique, pur et dur. […] Il est vrai que ce jour-là j’avais ingéré une certaine quantité de champignons hallucinogènes au petit déjeuner et que le lendemain cette sensation extatique, d’unité avait disparu. Mais je savais que j’avais eu un aperçu de la vraie nature des choses.
— Le secret de la force surhumaine de Alison Bechdel (Page 94)
GilB a terminé la lecture de Le secret de la force surhumaine par Alison Bechdel
C'est de premier abord un roman graphique à propos de l'exercice physique mais le sujet est surtout le rapport à soi, à son corps, à son environnement. L'autrice décrit 6 décennies de sa vie sociale et personnelle, de la maison de ses parents à la campagne du Vermont, de la difficulté (voire la souffrance) à écrire et créer au transcendantalisme. On l'accompagne dans sa vie, ses doutes, ses révélations, ses amours. C'est à la fois très intime et philosophique. Même si j'ai parfois été perdu parmi toutes les références culturelles, j'ai été touché de passer en revue avec elle 60 ans de vie et marqué par certaines de ses révélations.
C'est de premier abord un roman graphique à propos de l'exercice physique mais le sujet est surtout le rapport à soi, à son corps, à son environnement. L'autrice décrit 6 décennies de sa vie sociale et personnelle, de la maison de ses parents à la campagne du Vermont, de la difficulté (voire la souffrance) à écrire et créer au transcendantalisme. On l'accompagne dans sa vie, ses doutes, ses révélations, ses amours. C'est à la fois très intime et philosophique. Même si j'ai parfois été perdu parmi toutes les références culturelles, j'ai été touché de passer en revue avec elle 60 ans de vie et marqué par certaines de ses révélations.
GilB a cité Chien 51 par Laurent Gaude
A quoi est-ce que tout cela rime ? Se coucher, comme des millions d'autres dans cette zone qui est le hangar de l'humanité. Est-ce cela, sa vie ? Après tout ce qu'il a vécu, finir ainsi ? A cet instant, il sait qu'il ne va pas rentrer. La nuit n'est pas terminée. Il veut autre chose. Alors il tourne les talons et s'engouffre dans la première avenue, et ce qu'il ressent à ce moment là, lorsqu'il laisse l'immeuble dans son dos, c'est le soulagement de celui qui échappe à son châtiment.
— Chien 51 de Laurent Gaude (Page 54)
GilB a cité Chien 51 par Laurent Gaude
Le dossier n'est pas épais. Elle l'a parcouru des yeux en deux minutes. Zem Sparak. Arrivé à Magnapole à l'âge de vingt-quatre ans. Matricule XP51. A choisi la zone 3 après les Grandes Émeutes. Rien de plus. Juste un gars qui arpente la crasse des bas-fonds depuis des années.
— Chien 51 de Laurent Gaude (Page 37)

Chien 51 de Laurent Gaude
Autrefois, Zem Sparak fut, dans sa Grèce natale, un étudiant engagé, un militant de la liberté. Mais le pays, en …







