GilB a terminé la lecture de Le fils de Pan par Fabrizio Dori
Le fils de Pan de Fabrizio Dori
[Résumé éditeur] Le satyre parachuté baby-sitter des dieux !
Zoé, cadre supérieure d’une grosse entreprise italienne, « control freak » …
Je lis beaucoup de SF et de BD mais aussi de la littérature japonaise et américaine. Déjà utilisateur de Bookwyrm, je repars à zéro sur cette nouvelle instance. Je suis aussi sur Mastodon
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[Résumé éditeur] Le satyre parachuté baby-sitter des dieux !
Zoé, cadre supérieure d’une grosse entreprise italienne, « control freak » …
[Résumé éditeur] Une plongée extraordinaire dans le monde antique !
Dernier de sa lignée divine, Eustis le satyre mène une …
[Résumé éditeur] Une plongée extraordinaire dans le monde antique !
Dernier de sa lignée divine, Eustis le satyre mène une …
Amalia Van Esqwill est une jeune aristocrate de Dehaven, issue d'une puissante famille : son père possède une compagnie commerciale …
Amalia Van Esqwill est une jeune aristocrate de Dehaven, issue d'une puissante famille : son père possède une compagnie commerciale …
Je suis le produit d’une expérience éducative. Une expérience telle qu’il n’aurait pu en exister que dans ma ville et pour ma génération. […] Leur idée était simple, leur pari audacieux : il s’agissait de fournir à leurs propres enfants une éducation complète et éclairée, qui en ferait ces citadins de demain, en plus de créer entre eux des liens puissants qui renforceraient les positions de nos familles.
— Citadins de demain de Claire Duvivier (Page 7 - 9)
Dans le Prologue
Récompensé par le prix Pulitzer, Maus nous conte l'histoire de Vladek ;.Spiegelman, rescapé de l'Europe d'Hitler, et de son fils, …
Amalia Van Esqwill est une jeune aristocrate de Dehaven, issue d'une puissante famille : son père possède une compagnie commerciale …
Recueil de quatorze nouvelles uchroniques ou dystopiques abordant les sujets du voyage dans le temps, du conflit entre religion et …
Un recueil de de nouvelles très bien construit et qui m’a beaucoup plu. L’auteur explore les ressorts de la conscience humaine et artificielle avec beaucoup de finesse et d’empathie, y compris pour les « machines ». Je l’ai trouvé captivant avec de très beaux personnages féminins dont les parcours sont parfois tragiques mais emplis d’une humanité profonde, qu’elle soit naturelle ou artificielle. Un autre élément notable, la plupart des nouvelles se déroulent ou sont liées à la ville d’Istanbul, siège de l’Institut dans lequel une technologie de transfert de la conscience humaine est développé, ce qui ouvre les portes vers l’exploration spatiale et les consciences artificielles.
» J’ai compris que je devenais maintenant un être humain. Les humains font des humains. Ils n’ont pas nécessairement besoin de les enfanter. Il existe de nombreuses façons de faire. Ils peuvent imaginer des modèles d’humains, créer de vrais humains, transformer des choses inhumaines en leur conférant des qualités humaines, tout comme celles de j’ai attribuées à la pluie de roches qui a failli nous anéantir. Les humains m’ont donné une apparence conçue à leur image. En échange, je les ai recréés. Je t’ai créée, Mae. »
— Protectorats de Ray Nayler (Page 371)
Dans la nouvelle Les Enfants d’Evrim
« Si Himmet est mort, à qui suis-je en train de parler ? » […] « Je ne peux pas répondre à ça. Je suppose… je suppose que vous parlez à la chose que les gens appellent Himmet. La machine à laquelle tout le monde donne ce nom. » Tarik se releva. « C’est tout ce qu’Himmet a toujours été. C’est tout ce que nous sommes : une chose à laquelle les gens donnent un nom. Une construction. Vivez votre vie, mon ami. Portez-vous bien.
— Protectorats de Ray Nayler (Page 328)
Dans la nouvelle Le Réparateur de moineaux
La dernière fois que je suis morte, ça ressemblait à toutes les autres. Je suis sortie du récepteur pour me retrouver dans un blizzard planétaire, avec une gravité de 0,8874. Halis-3, le monde sur lequel l’institut m’avait envoyée, est un piège volcanique en obsidienne, balayé par des vents de 150 kilomètres-heure, avec une température moyenne de -45 degrés Celsius. Il n’y a aucune vie. Aucune possibilité de colonisation spatiale. Halis-3 ne nous est d’aucune utilité, sauf si vous désirez fabriquer des pointes de flèche. La dernière fois que je suis morte là-bas, j’avais été poussée par le vent dans une crevasse. Je n’ai pas été tuée sur le coup. Je suis restée étendue avec le dos brisé et je souffrais terriblement ; mes organes me lâchaient l’un après l’autre pendant que le récepteur sauvegardait ma conscience pour le transfert. J’ai déjà connu cinq fois ce genre de décès. Ça devenait monotone. C’est affreux de mourir, vous savez. Je ne le recommande à personne.
— Protectorats de Ray Nayler (Page 276)
Dans la nouvelle *Retour au Château Rouge *
» Si tu survis, je t’apprendrai les noms que nous donnons aux couleurs de la forêt. Les colons emploient les vieux noms terriens, des termes vides qui évoquent des choses que nous n’avons jamais vues. Tu savait que violet fait référence à une fleur, la violette ? A quoi ressemble-t-elle ? C’est la couleur qui porte maintenant ce nom. A moins que nous la confondions avec la couleur rose, qui vient d’une autre fleur ? Ambre est la couleur de la sève d’une arbre terrestre, qui s’est pétrifiée avec le temps. Qui a déjà vu cette substance ? Grenade désigne un fruit que je n’ai jamais trouvé dans les rapports. Je t’apprendrai de nouveaux noms. Des noms d’ici, créés pour notre présent. » Si je survis
— Protectorats de Ray Nayler (Page 212)
Dans la nouvelle Les Yeux de la forêt
L’humanité fantasme depuis longtemps sur le fait de pouvoir aller et venir à travers le temps. C’était le voyage temporel évoqué par les intrigues de nos livres. L’explorateur temporel de H. H. Wells retourne au jour de son départ, et au même âge, mais doué de sagesse et méfiance – avant de repartir. Mais nous savons maintenant que la matière ne peut pas revenir de la simultanéité. Et qu’on ne peut pas regarder à l’intérieur ni éviter les incertitudes de la date et de la position interpolées à partir de notre présent. En outre, et c’est la plus grande des frustrations, aucun mouvement n’est possible en direction du futur. Je veux bien admettre que c’est une limite de la technologie actuelle ; que nous n’avons pas encore découvert le moyen d’effectuer ce mouvement. Ou alors, comme certaines théories l’affirment, il n’y pas de futur : c’est le moment présent qui constitue notre machine temporelle. Il représente la pointe de la flèche du temps, plongeant à tout jamais dans le vide qui s’étend devant nous.
— Protectorats de Ray Nayler (Page 22)
Dans la nouvelle Mélopée pour Hazan