
Rossignol de Audrey Pleynet
[4e de couverture] Lointain futur. Espace profond. Plus qu’une prouesse technologique, la station est une expérience. Politique, sociale, économique, philosophique. …
Je lis beaucoup de SF et de BD mais aussi de la littérature japonaise et américaine. Déjà utilisateur de Bookwyrm, je repars à zéro sur cette nouvelle instance. Je suis aussi sur Mastodon
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[4e de couverture] Lointain futur. Espace profond. Plus qu’une prouesse technologique, la station est une expérience. Politique, sociale, économique, philosophique. …

[4e de couverture] Lointain futur. Espace profond. Plus qu’une prouesse technologique, la station est une expérience. Politique, sociale, économique, philosophique. …
Les nouveaux arrivants se retournaient, une expression étonnée et sincère sur le visage. La plupart étaient des êtres purs ou issus d’hybridations simples, légères améliorations dans leurs gènes, telle qu’on pouvait en trouver sur les planètes centrales, et qui se contentaient chez eux d’une version basique de surpeau et de filtres nasaux. Ils ne comprenaient pas les gestes de certaines espèces rares, ni les sons des hybrides complexes, et hésitaient, peu confiants envers les Paramètres. Leur désorientation durait plus ou moins longtemps, en fonction de leur capacité d’adaptation et des barrières psychologiques dont leurs esprits étaient pourvus. En les observant, je compris que la station était déjà en moi. Depuis longtemps. Depuis toujours. J’avais été élevée par elle.
— Rossignol de Audrey Pleynet (Page 36)

Un nagevide, une créature titanesque qui parcourt l’espace profond au gré des vents cosmiques. Sauf que celui-ci est mort, réduit …

Barbares (français language, 2023)
[Doublon ne pas utiliser]

[Résumé éditeur] Nox, ancien commis d’épicerie devenu négociateur de la maison de la Caouane, doit quitter la ville de Gemina …

[4e de couverture] Lointain futur. Espace profond. Plus qu’une prouesse technologique, la station est une expérience. Politique, sociale, économique, philosophique. …

Quand Louis reçoit cette invitation d’Agathe, il est un peu ému. Et intrigué. Il y a si longtemps. Même si …

Quand Louis reçoit cette invitation d’Agathe, il est un peu ému. Et intrigué. Il y a si longtemps. Même si …

[4e de couverture] À une époque où la nature a été entièrement cataloguée, colonisée ou assujettie, on peut encore découvrir …

[4e de couverture] Amoureux de la nature, Geoffroy Delorme n’a pas vingt ans quand il aperçoit, dans la forêt de …

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Agonie est sorcière. Félicité, passeuse de fantômes. Le silence dure depuis trente ans entre ces deux filles de berger, jusqu'au …
Une épopée, un récit historique, une histoire intime. Comment vivre avec sa propre destinée et celle de sa famille ? Il y a du thé, des papillons, une bergerie, la vallée de Merveilles, un désert, des noms donnés et pris, des ancêtres, des fantômes (beaucoup de fantômes). On suit le récit d’un archiviste qui retrace le parcours de Félicité et Egonia, deux sœurs jumelles qui se sont éloignées, à la recherche des derniers mots de leur mère. C’est vraiment riche et passionnant. L’autrice se permet des changement de style, des chapitres d’une page ou de plusieurs dizaines. Je les ai suivies avec plaisir jusqu’au dénouement, un peu abasourdi comme elles. Dommage qu’il ne soit plus possible de les rencontrer.
Une épopée, un récit historique, une histoire intime. Comment vivre avec sa propre destinée et celle de sa famille ? Il y a du thé, des papillons, une bergerie, la vallée de Merveilles, un désert, des noms donnés et pris, des ancêtres, des fantômes (beaucoup de fantômes). On suit le récit d’un archiviste qui retrace le parcours de Félicité et Egonia, deux sœurs jumelles qui se sont éloignées, à la recherche des derniers mots de leur mère. C’est vraiment riche et passionnant. L’autrice se permet des changement de style, des chapitres d’une page ou de plusieurs dizaines. Je les ai suivies avec plaisir jusqu’au dénouement, un peu abasourdi comme elles. Dommage qu’il ne soit plus possible de les rencontrer.
« Tu as grandi avec tes deux noms, et tu t’en es choisi un. Lequel était le fleuve, lequel était la rive … Peu importe. » Je vais vous dire, moi, ce que je crois. Je crois qu’Adélaïde a tort. Devenir son ombre et son reflet, ne plus être seulement le fleuve, mais la rive qui le canalise, et la mer où il mène… ça n’arrive pas dans un fracas, ce n’est pas un barrage qui cède et qui emporte tout. C’est patiemment, avec un dé à coudre, ajouter au fleuve son eau jusqu’à qu’il déborde, sans éclat, sans évènement, et qu’un jour les cartes n’affichent plus qu’un océan, comme s’il avait toujours été là. Un outrenom, on l’apprivoise petit à petit. On apprend à vivre avec son ombre et avec sa lumière, et à puiser à ses deux sources. Découvrir son outrenom, c’est une chose. Mais il ne suffit pas de savoir ce qu’on est pour le devenir.
— Du thé pour les fantômes de Chris Vuklisevic (Page 370)