Clochix a terminé la lecture de Le silence de la cité par Élisabeth Vonarburg
J’avais trouvé la fin de l’excellent Chroniques du pays des Mères un peu frustrante car, même si l’intrigue est finalement secondaire, beaucoup de questions restent sans réponses. Le Silence de la cité comble cette frustration, en remontant à l’origine du Pays des Mères. Le silence de la cité a été écrit plusieurs années avant des Chroniques, et se déroule ses siècles avant, mais le lire après est finalement une bonne idée. Muni des clés qu’il fournit, les Chroniques auraient perdu un peu de leur mystère.
Indépendamment de son lien avec les Chroniques, le Silence est un bon roman de SF où après une catastrophe, une partie de l’humanité vit dans des cités souterraines entourée d’androïdes quand le reste, à la surface, rebâtit dans la douleur un nouveau monde sur les ruines de l’ancien. Le récit est riche, plein de rebondissements, centré autour d’un personnage attachant, Élisa, née dans une cité, …
J’avais trouvé la fin de l’excellent Chroniques du pays des Mères un peu frustrante car, même si l’intrigue est finalement secondaire, beaucoup de questions restent sans réponses. Le Silence de la cité comble cette frustration, en remontant à l’origine du Pays des Mères. Le silence de la cité a été écrit plusieurs années avant des Chroniques, et se déroule ses siècles avant, mais le lire après est finalement une bonne idée. Muni des clés qu’il fournit, les Chroniques auraient perdu un peu de leur mystère.
Indépendamment de son lien avec les Chroniques, le Silence est un bon roman de SF où après une catastrophe, une partie de l’humanité vit dans des cités souterraines entourée d’androïdes quand le reste, à la surface, rebâtit dans la douleur un nouveau monde sur les ruines de l’ancien. Le récit est riche, plein de rebondissements, centré autour d’un personnage attachant, Élisa, née dans une cité, qui va progressivement prendre son destin (et celui du monde ?) en main.