GilB a commencé la lecture de L'Aube par Octavia E. Butler

L'Aube de Octavia E. Butler
Après un sommeil de plusieurs siècles, Lilith s'éveille à bord du vaste vaisseau spatial des Oankali. Créatures dotées de tentacules, …
Je lis beaucoup de SF et de BD mais aussi de la littérature japonaise et américaine. Déjà utilisateur de Bookwyrm, je repars à zéro sur cette nouvelle instance. Je suis aussi sur Mastodon
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Après un sommeil de plusieurs siècles, Lilith s'éveille à bord du vaste vaisseau spatial des Oankali. Créatures dotées de tentacules, …

Un roman fantastique et obsédant, qui interroge la frontière entre l’homme et l’animal, et réunit trois fils narratifs habilement tressés …
J'ai beaucoup apprécié le contexte et une partie des personnages mais j'ai vraiment été dérouté par la construction de ce roman. Il y a une très longue exposition du lieu principal, d'où sont issus la plupart des personnages. On comprend d'où vient la transformation opérée dans le Parc, devenu inhabitable suite à une catastrophe écologique et physique. Mais on y pénètre réellement dans deux chapitres, à la recherche d'Amery, le personnage principal. La messagère qui a donné le titre au roman, n’apparaît aussi que très tardivement. Comme si l’auteur avait voulu nous laisser dans le même état de confusion et d’incompréhension que ses personnages. Ou voulait nous laisser combler les vides et imaginer le devenir de l’histoire. C’est plutôt surprenant et décevant pour ma part. Comme un rendez-vous manqué.
J'ai beaucoup apprécié le contexte et une partie des personnages mais j'ai vraiment été dérouté par la construction de ce roman. Il y a une très longue exposition du lieu principal, d'où sont issus la plupart des personnages. On comprend d'où vient la transformation opérée dans le Parc, devenu inhabitable suite à une catastrophe écologique et physique. Mais on y pénètre réellement dans deux chapitres, à la recherche d'Amery, le personnage principal. La messagère qui a donné le titre au roman, n’apparaît aussi que très tardivement. Comme si l’auteur avait voulu nous laisser dans le même état de confusion et d’incompréhension que ses personnages. Ou voulait nous laisser combler les vides et imaginer le devenir de l’histoire. C’est plutôt surprenant et décevant pour ma part. Comme un rendez-vous manqué.

Sur Terre, aujourd'hui, ici et là. Il y a ce truc sphéroïde reposant sur cinq... jambes ? Un monstre, quoi …
Une histoire qui se construit au fur et à mesure que l'on fait la connaissance des personnages. Certains certaines totalement improbables. On aimera en savoir plus sur une partie d'entre eux, mais ça va trop vite. Bien écrit mais un peu trop riche à mon goût.
Une histoire qui se construit au fur et à mesure que l'on fait la connaissance des personnages. Certains certaines totalement improbables. On aimera en savoir plus sur une partie d'entre eux, mais ça va trop vite. Bien écrit mais un peu trop riche à mon goût.
Tout en regardant brouter les rennes, il se demande comment ils font pour vivre ici. De la même manière que les animaux se sont toujours arrangés pour cohabiter avec nous, bien sûr. En subissant tout sans rien escompter. À leurs yeux, cet endroit terrifiant n’a rien de nouveau ni de différent ; ce n’est qu’une autre des funestes énigmes engendrées par les humains et qu’il faut endurer. Pour eux, le Parc et nous, c’est du pareil au même : une réalité inexplicable, inarrêtable. Une brèche crevant le cœur du monde et qui ne s’en ira jamais.
— La messagère de Thomas Wharton (Page 370)
Or, la femme saisie de tremblements me donnait l’impression, en même temps, d’être et de ne pas être moi. Du menton au sommet du crâne, j’étais moi, telle que je me connaissais. De mon cou à mes pieds, j’étais une inconnue grelottante. Quoi qu’il me soit arrivé, quelque nom qu’on veuille donner à mon affection, mon étrange crise devait comporter une composante émotionnelle en rapport, d’une façon ou d’une autre, avec mon père. Le problème était que je ne m’étais pas sentie émotive. Je m’étais sentie tout à fait calme et raisonnable. Il semblait que quelque chose, en moi, se soit terriblement déréglé, mais quoi, exactement ? Je décidai de partir à la recherche de la femme qui tremble.
— La Femme qui tremble de Siri Hustvedt (Page 17)

[4e de couverture] En 2005, alors qu’elle vient à peine de commencer à prononcer le discours préparé en l’honneur de …

[4e de couverture] Craig Thompson ~ the award winning creator of Blankets and Good-bye, Chunky Rice ~ traveled for three …

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[4e de couverture] Lassée de participer au cirque social et aliénant qu’elle observe quotidiennement à Montréal, Anouk quitte son appartement …

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Dans un futur proche, dans une mégalopole hyper connectée, règne le culte de la transparence : tout est filmé, liké, …

Dans un futur proche, dans une mégalopole hyper connectée, règne le culte de la transparence : tout est filmé, liké, …
@themr0c@bw.heraut.eu J'en suis à la moitié et pour moi aussi c'est laborieux. Le sujet et les personnages sont vraiment intéressants mais leur traitement est déroutant et un peu pesant.
@themr0c@bw.heraut.eu J'en suis à la moitié et pour moi aussi c'est laborieux. Le sujet et les personnages sont vraiment intéressants mais leur traitement est déroutant et un peu pesant.