Passage à la boulangerie après une nuit d'insomnie. La vendeuse ne connaît pas la tarte à l'oignons, une spécialité alsacienne. Je la charrie sur sa méconnaissance du produit. Elle se crispe. Je lui souris en lui disant que c'est une plaisanterie. "On ne sait plus si les gens blaguent ou pas en ce moment.."., me dit-elle Puis: "Certains refusent que je les serve parce que je ne suis pas blanche". Ses yeux étaient aussi tristes que la pluie qui tombait dehors
#racisme
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Très ému en lisant ma consoeur Sophie de Ravinel qui suit LFI au Figaro se prononcer publiquement contre le choix du directeur de la rédaction Alexis Brézet d'approuver au nom du journal (donc Dassault) l'accord entre Ciotti et le RN. Le Figaro a toujours été un canard conservateur mais Brézet l'a transformé depuis en officine de l'extreme-droite. La position de Sophie est d'autant plus courageux
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Anthony a commenté Vers les étoiles par Mary Robinette Kowal (Lady Astronaute, #1)
L'autrice Mary Robinette Kowal aborde le racisme (envers les Noirs américains) et le sexisme dans son roman dystopique « Vers les étoiles ». L'action se situe dans une autre version des années cinquante. Mais je souriais en constatant ce très fréquent biais lié au patriotisme. Suite à un effondrement planétaire, les États-Uniens des États les moins fragiles accueillent leurs réfugiés avec attention, et même, certes un peu plus tardivement, les personnes de couleur noire. Mais dans les autres pays, il est plutôt question d'émeutes, de pillages et d'autres atrocités. Décidément, les États-Uniens savent mieux se tenir que nous autres :-) Bon, je précise que je ne suis qu'au premier quart du livre.
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