GilB a terminé la lecture de Éloge des fins heureuses par Coline Pierré
Éloge des fins heureuses de Coline Pierré
[4e de couverture] Coline Pierré nous offre un livre bijou.
Ce texte iconoclaste est un plaidoyer pour l’imagination et pour …
Je lis beaucoup de SF et de BD mais aussi de la littérature japonaise et américaine. Déjà utilisateur de Bookwyrm, je repars à zéro sur cette nouvelle instance. Je suis aussi sur Mastodon
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[4e de couverture] Coline Pierré nous offre un livre bijou.
Ce texte iconoclaste est un plaidoyer pour l’imagination et pour …
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[4e de couverture] Sur Mars, un scientifique expérimente un nouveau moteur qui permettra un jour à l’humanité de voyager vers …
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Sur Terre, aujourd'hui, ici et là. Il y a ce truc sphéroïde reposant sur cinq... jambes ? Un monstre, quoi …
[4e de couverture] Bienvenue à Quality Land, le pays de tous les superlatifs ! Tu vibres déjà ? Il y …
Dans plusieurs millions d’années… Ayant essaimé à travers l’ensemble de la Galaxie, l’humanité s’est divisée en une myriade de cultures …
Des clones humains et quasiment immortels, la lignée Gentian, se retrouvent tous les deux cent mille ans pour partager leurs découvertes dans un univers colonisé par l'espèce humaine. Lors leurs Retrouvailles et pendant 1000 jours, chacun d'eux diffuse un "fil", synthèse de toutes ses expériences pendant la période passée. Mais l’un des fil paraît étrange à deux des gentianes, iels vont mener l’enquête. J'ai bien aimé le contexte et les personnages. On découvre et on comprend au fur et mesure les aspirations des clones de la lignée Gentian, ainsi que les tensions et divergences qui ont émergé avec les centaines de milliers d’années. J’ai été déçu sur la fin, la conclusion est moins éclatante que ne laissait présager les évènements et révélations la précédant.
Il n’existait qu’une seule règle : lorsque nous sortions de nos vaisseaux, nous devions ressembler à des humains adultes et avoir nos cerveaux sur nous. Les aspects mineurs tels que le genre, la stature, la pigmentation et l’orientation sexuelle demeuraient libres, mais il nous fallait tous arborer les traits d’Abigail Gentian : ses pommettes hautes, sa mâchoire carrée et ses yeux vairons, l’un vert et l’autre d’un bleu sombre hivernal. Nous pouvions choisir tout le reste.
— La millième nuit de Alastair Reynolds (Page 22)
Au dernier décompte, on dénombrait dix millions de systèmes stellaires habités. Cinquante millions de mondes de classe planétaire. Des civilisations étaient nées, avaient grossi puis avaient disparu depuis les précédentes retrouvailles. À chaque nouvelle réunion, on ne voyait pas comment les franges d’humanité les plus extrêmes pourraient devenir plus étranges, moins reconnaissables. Elles y parvenaient pourtant toujours ; elles s’infiltraient dans chaque interstice cosmique comme de la lave fondue, puis y créaient des repaires inédits dont personne n’avait encore jamais osé rêver.
— La millième nuit de Alastair Reynolds (Page 21)
[4e de couverture] De son Carnet rouge, où il consigne, et même collectionne les évènements étranges par leurs coïncidences, Paul …
Hasard, contingence et nécessité. Dans Le carnet rouge, Paul Auster reporte 13 histoires qui le concernent directement ou qui lui ont été racontées. Elles sont parfois insignifiantes, parfois déterminantes et tellement invraisemblables qu’elles ne peuvent qu’être vraies. C’est en quelque sorte la matière de ses romans. La dernière est à l’origine de la trilogie new-yorkaise : il est appelé plusieurs fois de suite par erreur et raccroche, que ce serait-il passé s’il avait répondu par l’affirmative et se serait fait passer pour un détective ? La suite du recueil est un ensemble d’essais sur des auteurs, autrices et artistes qu’il admire, je les ai laissé de côté (pour l’instant). La dernière partie est une suite de 3 conversations (entre 1980 et 1990) sur la traduction, l’écriture, ses premiers romans. Avec de nouvelles histoires invraisemblables et une analyse sur la façon dont ses romans naissent et se construisent. C’est à la …
Hasard, contingence et nécessité. Dans Le carnet rouge, Paul Auster reporte 13 histoires qui le concernent directement ou qui lui ont été racontées. Elles sont parfois insignifiantes, parfois déterminantes et tellement invraisemblables qu’elles ne peuvent qu’être vraies. C’est en quelque sorte la matière de ses romans. La dernière est à l’origine de la trilogie new-yorkaise : il est appelé plusieurs fois de suite par erreur et raccroche, que ce serait-il passé s’il avait répondu par l’affirmative et se serait fait passer pour un détective ? La suite du recueil est un ensemble d’essais sur des auteurs, autrices et artistes qu’il admire, je les ai laissé de côté (pour l’instant). La dernière partie est une suite de 3 conversations (entre 1980 et 1990) sur la traduction, l’écriture, ses premiers romans. Avec de nouvelles histoires invraisemblables et une analyse sur la façon dont ses romans naissent et se construisent. C’est à la fois fascinant et vertigineux : « La question [est] de savoir qui est qui et si nous sommes ou non ce que nous croyons être ».
Une infirmière convoquée par un rêve au chevet de sa patiente mourante, une veuve éplorée qui marche dans la mer …
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[4e de couverture] « L’allumette vivait non pas quand elle était enfermée dans la boîte, mais seulement quand elle brûlait… …